Dans ma collection de toupies, j’en avais une dont la pointe était un feutre. Ainsi, en lançant l’objet de manière imparfaite, afin qu’il se déplace, j’obtenais un tracé. J’ai donc commencé à m’intéresser aux parcours des toupies, et surtout aux traces que pouvaient laisser les lancés imparfaits... Et j’ai esssayé d’inventer des traces aux toupies sans feutre.