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La toupie tourne, tourne... et elle s'arrête!

La danse d'Hélène par Flokita La danse d'Hélène

Dans le cadre du cours Le corps en mouvement / Analyse chorégraphique, de Valérie Frantz et Hélène Blanck, à l'atelier d'été des Arts Décoratifs, nous avons tenté de trouver une manière de représenter le mouvement. La danseuse et chorégraphe Hélène Blanck prenait tout d'abord des poses instables, dont nous tentions de représenter l'intensité. Puis elle s'est mise à danser et nous devions en temps réel, représenter la chorégraphie, sans la quitter des yeux.

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 Sujet
La chorégraphe prenait des pauses qu'il était très difficile de conserver longtemps car certains muscles étaient très tendus. L'instabilité de ces pauses les rendaient extrêmement vivantes.
Quant aux chorégraphies, elles été très variées, certaines très langoureuses, d'autres vives, d'autres encore poétiques.
 Technique
Nous devions apporter un pinceau lavis, un chiffon, et on avait mis à notre disposition des baguettes de bois très fines (comme de très longs cure-dents). Nous étions invités à diluer l'encre avec de l'eau, et le premier exercice consistait à tester divers moyens de remplir l'espace de la feuille avec les outils mit à notre disposition.
 Bilan
Il n'y a pas de réponse au problème de représentation qui nous était donné. Si les professeurs nous enrouageais à quitter la figuration, elles ont pourtant salué le travail d'un élève qui dessinait des silhouettes parfaitement proportionnées. À la fin, j'ai trouvé ma solution : représenter une shilouette et autour représenter les axes qui émanaient de la danse.